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eSport : les jeux vidéo violents ne pourront pas faire partie des jeux Olympiques


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Lors d'une interview avec le président du Comité international olympique, Thomas Bach, ce dernier s'est déclaré prêt à recevoir l'eSport au programme des Jeux olympiques. Néanmoins, il n'est pas d'accord pour faire rentrer des jeux vidéo violents, car cela serait contraire aux valeurs olympiques.

eSport aux Jeux olympiques oui, mais ...

Il ne faudra donc pas espérer voir des compétitions de Counter-Strike : Global Offensive, Call of Duty, Battlefield 1, Street Fighter V, League of Legends, Dota2, ou encore Overwatch aux JO puisqu'ils sont déjà jugés trop violents par le comité. Pourtant, il est favorable à l'intégration de l'eSport surtout vu les bénéfices que cela pourrait générer.

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En effet, les Jeux olympiques ne sont pas vecteurs de violences bien au contraire, ils font la promotion de la paix et de la fraternité. Les explosions de bombes, les effusions de sang ou encore la mort des ennemis sont bien contraires à ce message de paix. Cependant, il faut noter que l'industrie du jeu vidéo est arrivée à s'intégrer aux jeux de 2022 à Hangzhou. Mais quels jeux auront le droit d'être présents ? Pour Thomas Bach, les jeux vidéo représentant des sports joués dans la vie réelle, comme le football et le basketball pourraient être considérés comme jeux olympiques. Il déclare aussi que le comité serait heureux de voir ces compétiteurs jouer dans le monde réel le sport sur lequel ils s'acharnent virtuellement.

Paris souhaite intégrer l'eSport pour 2024.

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En 2024, Paris sera la ville hôte pour les Jeux olympiques, et il a été annoncé que l'eSport pourrait prendre place pendant la compétition. Cependant, le président du Comité international olympique, a déclaré qu'il était encore trop tôt pour le dire, car l'industrie du jeu vidéo n'est pas encore organisée et qu'il n'y a pas de régulateurs pour s'assurer que tous les joueurs respectent les règles, c'est-à-dire pas de dopage, le respect des règles techniques et le respect de ses adversaires.