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Réponse sèche à David et Laura : Il m'appar­tient seule de faire respec­ter le droit moral de Johnny


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Après l'annonce de Laura Smet et David Hally­day qui contestent le testa­ment de leur père, les deux aînés ont égale­ment demandé à obte­nir un droit de regard sur l'album post­hume actuel­le­ment en prépa­ra­tion. Mais Laeti­cia Hally­day ne semble pas prête à céder.

Avant son décès le 5 décembre dernier, Johnny Hally­day prépa­rait un nouvel album avec des titres inédits. Malheu­reu­se­ment, le célèbre rockeur n'aura pas eu la chance de le termi­ner... Laeti­cia Hally­day, Sébas­tien Farran, Yarol Poupaud et Maxim Nucci ont donc pris la déci­sion d'élabo­rer un album post­hume qui devrait sortir dans les bacs prochai­ne­ment.

Seule­ment voilà, dans son dernier testa­ment, Johnny Hally­day a cédé l'inté­gra­lité de son héri­tage - patri­moine et droits d'artiste - à sa dernière épouse en déshé­ri­tant tota­le­ment ses deux plus grands enfants. Une déci­sion diffi­cile à encais­ser pour Laura et David qui n'ont pas tardé à faire appel à la justice.

Dans une lettre adres­sée à Laeti­cia Hally­day, les deux aînés ont ainsi formulé leur désir d'obte­nir un droit de regard sur ce prochain album, une copie de la maquette et l'inté­gra­lité des enre­gis­tre­ments.

Une demande que n'a visi­ble­ment pas appré­ciée Laeti­cia Hally­day. « Abasour­die » et « écœu­rée » par les accu­sa­tions de Laura et David, l'ancien mannequin a refusé de parta­ger ses droits : « Laura, David, c'est avec beau­coup de surprise que j'accuse récep­tion de votre lettre, peut-on lire dans Le Point qui a publié cette réponse.

Cette requête, assor­tie d'un délai de 48 heures pour s'exécu­ter, prend le ton d'une mise en demeure. Je n'entends pas accé­der à cette injonc­tion qui n'est pas fondée. »

Et dans ses propos, Laeti­cia Hally­day reste sur ses posi­tions. Ferme, elle n'envi­sage aucu­ne­ment un règle­ment à l'amiable : « L'in­­té­­gra­­lité des droits d'au­­teur et d'ar­­tiste-inter­­­prète de mon époux m'a été dévo­­lue au terme de ses dernières volon­­tés [...] Il m'ap­­par­­tient donc seule de faire respec­­ter le droit moral de mon époux. ». La bataille judi­ciaire est donc loin d'être termi­née.