ToutSurTout.biz
Traî­née dans la boue, Laeti­cia Hally­day a renoncé à négo­cier avec David et Laura


https://www.world-lolo.com/images/uploads/image.num1521741906.of.world-lolo.com.jpg


L'avocat de Laeti­cia Hally­day, maître Arda­van Amir-Aslani, révèle dans les colonnes de Paris Match ce jeudi 22 mars que la veuve du Taulier a renoncé à régler à l'amiable le conflit qui l'oppose aux aînés de Johnny, David et Laura. "Pourquoi elle négo­cie­rait avec des gens qui la traînent dans la boue, la stig­ma­tisent, l'assignent", s'est-il inter­rogé.

« Veuve noire", « mani­pu­la­trice », « femme la plus détes­tée de France »... Laeti­cia Hally­day subit la foudre des fans en colère depuis l'annonce de David Hally­day et Laura Smet de contes­ter devant la justice le testa­ment améri­cain laissé par leur père.

Johnny Hally­day a en effet choisi de léguer son patri­moine à son épouse, ses deux aînés s'estiment ainsi déshé­ri­tés. Une souf­france pour les deux enfants, défen­dus par leurs mères respec­tives : Sylvie Vartan s'en est pris à l'ancien mannequin via plusieurs médias, Natha­lie Baye, d'abord silen­cieuse, est fina­le­ment sortie de sa réserve expri­mant son cour­roux dans un commu­niqué début mars.

La guerre fami­liale se règle via les médias, puis les tribu­naux. Le point de non retour a semble-t-il été atteint pour Laeti­cia Hally­day, qui, selon son avocat maître Arda­van Amir-Aslani, a renoncé à vouloir régler cette affaire à l'amiable.

»Aujourd'hui, pourquoi elle négo­cie­rait avec des gens qui la traînent dans la boue, la stig­ma­tisent, l'assignent, alors qu'elle a le droit, la loi et la juris­pru­dence pour elle ?", s'inter­roge-t-il dans les colonnes de Paris Match ce jeudi 22 mars.

Autre­fois prête à négo­cier, les moyens employés par David Hally­day et Laura Smet l'auraient décou­ra­gée. Ainsi, d'après la défense de Laeti­cia, compo­ser avec la partie adverse a un temps été envi­sa­geable, "mais elle n'a jamais reçu le moindre coup de fil (des aînés de Johnny). Ils ont choisi la voie média­tique, puis judi­ciaire, pour commu­niquer avec elle.

Leur première mani­fes­ta­tion après les obsèques, c'est le cour­rier recom­mandé, envoyé à Marnes-la-Coquette. Dans la foulée, Laura trans­met­tait cette lettre à son père, à l'AFP, dont le but était de prendre le public à partie, a regretté maître Arda­van Amir-Aslani.J'étais sur le point d'orga­ni­ser un rendez-vous avec David et Laura, nous y avons renoncé."