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Ghana-USA : Entente sur l'expulsion d'immigrés sans papiers


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Le Président Donald Trump et l'ambassadeur Adjei Bawuah.



Mercredi 26 Septembre 2018 - Les gouvernements du Ghana Rechercher Ghana et des États-Unis de l'Amérique (USA) sont parvenus à un compromis devant régir l'expulsion d'immigrés ghanéens sans papiers.

Selon Dr Baffour Adjei Bawuah, l'ambassadeur du Ghana Rechercher Ghana aux USA Rechercher USA qui s'est exprimé sur la question en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York, les deux pays sont parvenus à un accord. Bawuah a déclaré que le service d'immigration américain a tous les documents et informations nécessaire permettant à une personne d'être déportée sans qu'il n'ait besoin d'une confirmation de la part de l'ambassade du Ghana.

Cet accord intervient dans un contexte où les USA Rechercher USA ont dénoncé le fait que le Ghana Rechercher Ghana ne se conforme pas aux obligations internationales concernant la délivrance de documents de voyage aux ghanéens en attente d'expulsion. Bawuah avait refusé d'approuver des décisions d'expulsion malgré l'insistance des autorités américaines.

Suite à cette divergence, l'ambassade des USA Rechercher USA à Accra avait publié une déclaration dans laquelle le gouvernement américain sera obligé de commencer à appliquer un régime de restrictions de visas conformément à leurs lois si le gouvernement ghanéen ne coopère pas avec lui.

Sur le problème qui s'était présenté, l'ambassadeur ghanéen Bawuah a rappelé qu'il a été difficile d'endosser, en quelque sorte, une documentation à partir du moment où ils n'ont pas d'informations fiables sur les personnes à expulser.

Sur les réticences soulevées, l'ambassadeur a expliqué qu'ils ne sont pas en mesure de témoigner qu'un ghanéen ait commis une infraction, que la procédure en vigueur a été appliquée à la personne et que, par conséquent, la personne pourrait être expulsée.

Sur le noud de l'incompréhension qu'il y avait eu entre les deux pays, l'ambassadeur a clarifié que « ce dont nous disons, c'est une certaine équité car l'ambassade n'est pas forcément obligée de cautionner l'expulsion de certaines personnes ».

Et pour la solution trouvée à ce problème, l'ambassadeur a révélé que « Si la personne se présente avec des papiers valides à l'arrivée, il devrait y avoir la documentation devant permettre de la renvoyer. Donc, quelles que soient les données identitaire de bases, le système américain devrait l'avoir, s'ils l'ont, ils n'ont pas besoin de venir nous demander si la personne est ghanéenne ... ».