
A Marseillan, au bord de l'étang de Thau, les infrastructures pour les cyclistes sont très appréciées.
Un vrai choix politique.
Le maire de Marseillan, élu en 2008 sous les couleurs de l'UMP et qui se représente cette année, n'est pas encarté chez les écologistes, pourtant, durant ses deux mandats,Yves Michel a continué à investir dans divers équipements destinés aux cyclistes.
Un investissement à hauteur de 10 % du budget, soit en moyenne de 500 mille euros par an, sachant qu'un kilomètre de piste cyclable coûte environ 250 000 euros.
"Les marseillanais commencent eux aussi à s'y mettre ! Notre but est également de favoriser la pratique du vélo auprès des collégiens.
Michael Gueylard, le directeur des services de la ville de Marseillan."
De plus, début avril, les vélos électriques utilisable en mode "vélib" vont revenir pour l'été. Le système, testé l'an dernier avec une société spécialisée, a été probant.
C'est donc un travail de longue haleine qui commence à porter ses fruits aujourd'hui, époque où le vélo et les modes de déplacement doux ont le vent en poupe.
Si la lutte contre le réchauffement climatique fait d'ailleurs partie de quasiment tous les programmes des candidats aux municipales, toutes villes confondues, Marseillan semble avoir un tour de roue d'avance.