
Illustration très représentative d'un couple en vacances en Croatie.
Une lente agonie.
La cour a précisé que la mère avait commis son crime pour se rendre en Macédoine avec un nouveau compagnon qu'elle venait de rencontrer sur un réseau social. Son enfant en était gêné, a indiqué le magistrat, ajoutant qu'il a souffert d'une agonie qui a duré « environ une demi-heure ».
L'accusée a souhaité faire de nouveau appel, prétextant ne pas avoir eu un procès équitable, mais la cour a refusé. Un expert psychiatre a conclu qu'elle avait pleine conscience de ce qu'elle faisait et qu'elle était capable de contrôler ses actions au moment du crime.
L'adolescente qui a participé à l'assassinat a, pour sa part, été condamnée à trois ans de prison.