
Une enquête difficile.
La victime, alcoolisée et sous le choc, avait communiqué une description du violeur et son ex-compagnon également. Malheureusement, ces informations avaient laissé les enquêteurs dans l'impasse. L'ADN du violeur, prélevé sur la trentenaire avait permis d'obtenir un profil génétique.
Mais lors de son enregistrement dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), il ne correspondait à personne de connu, ni à aucun autre fait recensé. La victime s'était vu délivrer 18 jours d'incapacité totale de travail (ITT). Traumatisée, elle s'était vue mourir ce soir-là.