Ils écopent d'une composition pénale.
Les mis en cause qui sont domiciliés au foyer départemental de l'enfance, ont écopé d'une mesure de composition pénale à l'issue de leur garde à vue, avant d'être remis en liberté.
Il s'agit d'une procédure qui permet au procureur de proposer à une personne qui a commis certaines infractions, une ou plusieurs sanctions pour mettre un terme aux poursuites. Parmi les sanctions possibles, qui dépendent de l'âge des coupables : un stage, une formation, une interdiction de se rendre dans certains lieux, ou encore un travail non rémunéré d'une durée maximale de 60 heures.