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Comment l'OMS a truqué les essais sur l'hydroxychloroquine en imposant des doses toxiques


Une posologie excessive ne permet pas d'évaluer le bénéfice thérapeutique, le cas échéant, du HCQ.

Donner le médicament uniquement aux patients hospitalisés signifie que la fenêtre de temps pendant laquelle le HCQ devrait fournir le plus d'avantages, lorsque les titres viraux augmentent, est passée.

Pour résumer:

1. HCQ est administré à une dose toxique non thérapeutique.
2. Le HCQ est administré trop tard dans l'évolution de la maladie pour déterminer sa valeur par rapport au SAR-CoV-2.
3. Les données de sécurité limitées dans les essais de Solidarité servent à protéger les enquêteurs et les sponsors des essais contre la divulgation d'effets indésirables des médicaments, y compris la mort.
4. Je soupçonne l'OMS d'avoir délibérément induit en erreur en ce qui concerne les doses choisies.
5. Les conclusions à tirer sont effrayantes:
6. a) L'OMS et d'autres agences nationales de santé et organismes de bienfaisance ont conçu d'énormes essais cliniques pour garantir que l'hydroxychloroquine ne présentera aucun avantage, sans doute pour avantager ses concurrents et vaccins beaucoup plus chers en cours de développement.
7. b) Ce faisant, ces organismes et organismes de bienfaisance ont conspiré pour augmenter le nombre de décès dans ces essais.
8. c) Ce faisant, ils ont conspiré pour priver des milliards de personnes de potentiellement bénéficier d'un médicament sûr et peu coûteux lors d'une pandémie majeure. Cela pourrait entraîner une prolongation de la pandémie et une augmentation du nombre de cas et de décès.