Ma recommandation est que l'OMS cesse immédiatement d'utiliser ce schéma posologique, et donne aux sujets de l'essai des doses cliniquement appropriées et recueille des données de sécurité plus complètes.
Je rappelle à l'OMS que si les formulaires de consentement n'informent pas les patients que la dose de HCQ qu'ils peuvent recevoir est beaucoup plus élevée que pour toute autre indication, l'OMS peut faire l'objet de poursuites judiciaires pour les blessures subies dans le cadre d'un essai clinique.