Le mis en cause « avait épuisé toutes les voies de recours » concernant sa situation administrative.
Le magistrat a également expliqué que le trentenaire était en situation irrégulière. Il faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis novembre 2019 a rapporté le quotidien régional. Selon nos confrères, le mis en cause « avait épuisé toutes les voies de recours, y compris la commission d'appel des réfugiés, ainsi que le statut d'étranger malade qu'il avait tenté d'obtenir ».

L'homme qui était un bénévole, était chargé d'assurer la sécurité de la cathédrale. Il était protégé par l'évêché qui avait demandé un geste au préfet concernant sa régularisation, mais avait essuyé un refus.
« Il est certain que le juge d'instruction devra ordonner une expertise psychiatrique. C'est une étape indispensable pour en savoir un peu plus sur ses motivations et son état d'esprit. Le résultat sera intéressant », a par ailleurs déclaré le magistrat.