Les deux complices, auteurs de la vidéo, sont des garçons âgés de 15 ans. Ils ont été auditionnés par les enquêteurs en charge de ce dossier. Le duo est soupçonné d'avoir filmé la scène, de l'avoir diffusée, et d'avoir incité à la commission de ces faits. Le magistrat a rappelé que depuis une loi de 2014 destinée à punir sévèrement le happy slapping (le fait de diffuser une agression filmée, ndlr), les deux garçons encourent les mêmes peines que l'auteure principale.

Les policiers vont désormais s'attacher à cerner les contours de ces violences, et notamment l'origine du différend qui oppose la victime et l'auteure des coups.