« S'il devait y avoir des dégradations au niveau du terrain, nous sommes prêts à dédommager la commune. »
Interrogé par les journalistes des Informations Dieppoises, Stenegri, un membre de la communauté des gens du voyage, admet l'installation sauvage des caravanes.
« Mais à chaque fois que l'on fait une demande elle est refusée », précise-t-il. « Il n'y a pas beaucoup d'air de grand passage, on est donc obligé de prendre des emplacements comme celui-ci », ajoute Stenegri.
