La chute de l'activité au deuxième trimestre est toutefois moindre que ce qu'anticipaient la plupart des analystes et l'Insee lui-même, qui l'estimait encore à 17 % au mois de juin. Dans le détail, la consommation des ménages, principale composante de la croissance, a reculé de 11 %, les investissements de 17,8 %, les exportations de 25,5 %. « L'évolution négative du PIB au premier semestre 2020 est liée à l'arrêt des activités « non essentielles » dans le contexte du confinement mis en place entre mi-mars et début mai », explique l'institut dans un communiqué.

File:Échanges commerciaux de la France depuis janvier 1975