
Le corps sans vie de l'adolescente de 15 ans avait été retrouvé dans un petit collectif perpendiculaire à cette maison en pierre, jeudi 20 août 2020 à Nantes.
Le corps d'une adolescente avait été retrouvé dans une maison en réfection incendiée dans le centre-ville de Nantes (Loire-Atlantique), jeudi 20 août dernier. Le sinistre cachait un horrible crime. Un prédateur sexuel a été interpellé, confondu par son ADN.
Depuis plusieurs jours, les enquêteurs nantais étaient à pied d'œuvre pour tenter d'identifier l'auteur du viol et du meurtre d'une adolescente de 15 ans, survenu le jeudi 20 août dernier vers 18 heures. Ce jour-là, ce sont les pompiers qui avaient découvert le corps sans vie de la victime, en intervenant pour éteindre l'incendie d'une maison en réfection du centre-ville de Nantes, rue Adolphe Moitié.
Selon toute vraisemblance, le feu avait été allumé par un criminel, avait indiqué le parquet. Le procureur adjoint, Olivier Bonhomme, avait précisé que « deux départs de feu avaient eu lieu à deux endroits différents ». Une enquête pour « homicide volontaire » avait été ouverte et confiée à la police judiciaire. Elle vient de connaître un tournant décisif.