
Illustration, car on a dit âgé de 10 ans.
Les sapeurs-pompiers ont été appelés pour prendre en charge la victime qui était sous le choc, qui saignait du nez selon des témoignages. Au lendemain des faits, l'Éducation nationale a indiqué à nos confrères qu'elle « déplore et condamne ces actes de violences non prévisibles ». Elle a ouvert une cellule psychologique pour l'enseignante et ses élèves.
L'enfant, prénommé Jihad, qui a agressé sa maîtresse, est connu pour être un élève « en grande difficulté ». En outre, il est « largement suivi » par les services éducatifs.