
Bistrot : Men-Glaz à Pontivy.
« C'était un petit coup de gueule pour que les gens s'aperçoivent qu'on a besoin d'argent et de soutien. Je n'ai rien contre McDo. J'ai des enfants, j'y vais. Mais nous aussi, on a besoin de travailler et on ne travaille pas assez. On ne peut pas travailler pour pas grand-chose, passer de vendredis et samedis complets à une centaine d'euros par soir. »