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Des internes en médecine du centre hospitalier de Bigorre à Tarbes (Hautes-Pyrénées) avaient décidé de passer une nuit festive, en plein confinement. Les policiers sont intervenus.
Il s'agit d'une soirée clandestine qui fait tache et que ces internes de l'hôpital de Tarbes risquent d'avoir du mal à justifier, alors même que la France traverse une seconde vague meurtrière de coronavirus et que le pays s'est reconfiné il y a maintenant 15 jours.
Il était environ 4 heures du matin dans la nuit de mercredi à jeudi lorsqu'une patrouille de police a aperçu quatre personnes sur le trottoir, sur le boulevard Jean Moulin, devant l'hôpital de Bigorre de Tarbes. Ces dernières étaient alcoolisées et venaient d'une fête se déroulant à proximité. Les fonctionnaires ont donc décidé de se rendre sur place pour mettre fin à ce rassemblement.
La soirée festive avait lieu dans les hébergements des internes, dans l'hôpital de Bigorre. La musique était bien audible et il y avait de l'alcool, mais surtout aucun respect des gestes barrières déplore une source proche de l'affaire.