Car aux Sables-d'Olonne (Vendée), par exemple, aucune prune (fixée à 38 euros) n'est encore tombée. Ici, comme dans de nombreuses stations balnéaires, la municipalité a décidé de se mobiliser sur la question depuis l'année 2018 à la suite de plaintes de commerçants. « Des torses nus, j'en vois tous les jours, assure l'une d'entre elles, qui travaille juste devant les halles couvertes. Il y a des ventripotents, des tatoués, des transpirants... C'est pareil pour les femmes, qui viennent faire leurs courses en deux pièces ! » « Je ne trouve pas ça respectueux ni très hygiénique, embraye une autre. Ils pensent pouvoir faire ce qu'ils veulent car ils sont en vacances... Il m'est déjà arrivé de refuser un Monsieur dans ma boutique à cause de ça ! »

La campagne d'affichage aux Sables-d'Olonne.