Victimes économiques de la pandémie.
L'Union des entreprises de proximité (U2P) "dénonce le choix initial du gouvernement" de faire des commerces et services de proximité "les principales victimes économiques de la pandémie", selon un communiqué.
L'U2P, qui représente professions libérales, petits commerçants artisans, "demande qu'un point de situation soit effectué au plus tard le 26 novembre afin de préparer une reprise des activités dès le 28 novembre ou au plus tard le 1er décembre".

La 3ème vague : la détresse psychologique.
Guy Pressenda, le président de l'UMIH 31 relaye l'état d'esprit de ces chefs d'entreprises.
Certains ont envie de se foutre en l'air. C'est grave. La troisième vague de l'épidémie c'est la détresse psychologique de ces professionnels et ça, qui va s'en occuper ? Ca finira quand ?
Face à l'angoisse qui s'amplifie, la CCI France, l'organisation nationale des chambres de commerce et d'industrie, réclame ce vendredi que la date du 1er décembre soit désormais "une date ferme et non conditionnelle pour permettre la réouverture de tous les commerces".