
Le tribunal administratif donne raison au plaignant.
Le mercredi 18 novembre, le tribunal administratif de Rennes a fait droit à la demande de la Fédération de la Libre Pensée costarmoricaine et a ordonné au département des Côtes-d'Armor de démonter le calvaire en question.
« Le département ne pouvait légalement autoriser ou accepter, en 1946 comme en 2018, l'installation de croix sur une de ses propriétés », a souligné le tribunal.
Le département des Côtes-d'Armor doit désormais retirer les croix du calvaire d'ici le 5 février 2021. Il a également été condamné à verser 500 euros à la Fédération départementale de la Libre Pensée au titre des frais de justice engagés.