"C'est dommage !", déplorent les curieux.
Ce jeudi matin, au lever du soleil, plusieurs personnes étaient à sa recherche afin d'immortaliser eux aussi cette œuvre insolite. Hélas, ils ont eu beau arpenter les abords de la falaise, les pieds dans la boue, près de la base de loisirs et du pylône du futur téléphérique, téléphones en main, ils n'ont pu que se rendre à l'évidence : il n'en restait plus aucune trace. À l'exception, peut-être, d'une barrière de bois enlevée et d'un peu d'herbe tassée.

Le monolithe de Pech David, à Toulouse, photographié mercredi 9 décembre.