La colère d'un syndicat de surveillants pénitentiaires.
« Classifié Escorte 2 », le détenu a encore huit ans de prison à purger « avec un comportement « borderline » en détention » où il se trouve « depuis plus de 10 ans », explique le Syndicat Pénitentiaire des Surveillants (SPS) dans un communiqué.

Centre pénitencier de Marseille.
« Une Maison centrale n'a-t-elle pas pour mission principale de garder les détenus les plus dangereux avec un régime de détention qui utilise des dispositifs réputés plus importants ? », s'interroge l'organisation syndicale. « Croisons les doigts pour que cet « ex-détenu » ne commette pas d'autres méfaits avec de nouvelles victimes durant sa cavale ».