Jugement à huis clos.
Le jugement a été prononcé à huis clos. Des journalistes mais aussi des diplomates étrangers et des partisans de Zhang Zhan qui ont essayé d'entrer dans le tribunal ont été repoussés par la police.

Le procureur avait recommandé la peine maximale, en invoquant la récidive : en 2019, la lanceuse d'alerte avait déjà été arrêtée pour avoir manifesté son soutien aux militants pro-démocratie de Hong Kong. Ce qui lui avait valu deux mois de détention, avec examens psychiatriques.