
Nourrie de force en prison.
Les autorités l'accusent d'avoir propagé une grande quantité de fausses informations mais aussi d'avoir accepté des interviews avec les médias étrangers Radio Free Asia et Epoch Times.
Zhang Zhan, qui refuse de plaider coupable, assure qu'elle n'a pas "fabriqué" des informations sur la pandémie et que tout ce qu'elle a rapporté, elle l'a appris de première main.
Pendant sa détention, en signe de protestation, elle tente de suivre une grève de la faim mais elle est nourrie de force par un tube qu'on lui passe dans le nez en lui attachant les mains pour qu'elle ne puisse pas l'enlever. Selon l'un de ses avocats, son état de santé physique et psychologique est "préoccupant".