Déjà condamné à douze reprises, il était en semi-liberté.
L'homme a été jugé ce lundi pour outrages et menaces de mort sur personne dépositaire de l'autorité publique, mais également pour dénonciation calomnieuse. Lors de l'audience, le prévenu qui a déjà douze mentions sur son casier judiciaire, notamment pour rébellion et menaces de mort sur conjoint, a nié avoir voulu simuler des violences de la part des forces de l'ordre. Il a finalement expliqué son geste par le fait qu'il était très en colère après avoir été verbalisé à hauteur de 135 euros pour le non-port du masque. En outre, il a reconnu les insultes mais pas les menaces de mort.
