
Selon la direction, ce licenciement est «sans aucune relation avec les événements du 24 octobre» et «a été mené conformément au droit du travail, consécutivement à des faits graves d'insultes répétées envers des managers et d'incitation à la violence sur les réseaux sociaux». Selon Loïc Roldan, secrétaire général CGT/restauration rapide, une dizaine de salariés se disent victimes de harcèlement et d'agression sexuelle dans l'établissement. «C'est dramatique de voir que c'est la lanceuse d'alerte qui a été licenciée et que McDo flique les salariés dans leurs conversations privées», dénonce-t-il.

Exemple d'une lettre de licenciement.