"Si même les vaccins ne sont pas bons, ça donne la frousse."
Vaccinée vendredi 12 mars, cette habitante du Puy-de-Dôme a reçu la première injection d'AstraZeneca sur les conseils de son médecin. Agée de 69 ans, elle était prioritaire suite à un infarctus. « On a déjà peur avec ce COVID, ces variants... Je me dis qu'on va bien voir les résultats des analyses qu'ils vont faire mais si même les vaccins ne sont pas bons, ça donne la frousse. Je vous avoue franchement que pour la deuxième injection, j'ai un peu peur. Je me demande ce que ça va donner. Je l'ai fait parce que je pense que si tout le monde refuse de se faire vacciner, on ne va pas s'en sortir. Au départ, j'étais réticente parce qu'il n'y a pas de recul sur ces vaccins mais si on veut maîtriser la situation, c'est la seule solution », affirme Danielle.