"Si les gens ne veulent plus se faire vacciner avec AstraZeneca, c'est le plus inquiétant pour moi."
En tant que pharmacienne, elle craint plutôt que les patients ne veuillent plus se faire vacciner : « Ca, c'est certainement plus grave que les quelques cas d'effets indésirables. Je ne suis pas inquiète pour administrer le vaccin car s'il y a le moindre doute, j'en parle aux médecins avant de réaliser les injections, ce n'est pas à la chaîne, on fait du cas par cas. Pour l'instant il n'y a pas d'autres vaccins donc si les gens ne veulent plus se faire vacciner avec AstraZeneca, c'est le plus inquiétant pour moi », explique Catherine. Sa pharmacie devait commencer à réaliser des injections le 22 mars, et elle ignore, pour l'heure, si elle pourra recevoir des vaccins.