
« Ça part d'un simple contrôle pour demander aux jeunes de regagner leur domicile parce qu'en plus ils font des nuisances aux riverain (...) Et ça se finit en guet-apens », s'indigne Davido Reverdy, secrétaire national du syndicat Alliance police nationale. Selon le procureur de la République de Draguignan, Patrice Camberou, interrogé par France 3, ces violences urbaines sont liées à des sanctions dans la lutte contre le trafic de stupéfiants.
Des faits similaires s'étaient déjà produits le mois dernier. Les caméras de vidéosurveillances sont régulièrement prises pour cibles et dégradées. Déjà en mars dernier dans ce même quartier de la Gabelle, les policiers avaient été attaqués.