Parmi les multiples clins d'oeil que Jurassic World : Renaissance - qui sort ce vendredi 4 juillet en salles obscures - compte, une grosse référence se glisse dès les premières minutes du film.

Jurassic World : Renaissance, le futur carton de l'été.

L'été 2025 est, et sera chargé en blockbusters. Après Dragons, le dernier Pixar Elio et F1 avec Brad Pitt, le match entre DC Comics et Marvel se jouera en juillet avec Superman et The Fantastic Four : First Steps. Entre temps, c'est la grosse production d'Universal Jurassic World : Renaissance qui pourrait tout écraser sur son passage, surtout si l'on jette un oeil au succès colossal de la dernière trilogie World et ses près de 4 milliards de dollars glanés au box-office mondial.

Tout s'annonce bien dans le meilleur des mondes pour le film de Gareth Edwards (Star Wars Rogue One, The Creator), d'autant que la production a martelé dans sa campagne promotionnelle vouloir multiplier les clins d'oeil à la première trilogie Jurassic Park. Le film en est même rempli, que ce soit par son pitch, la redite (maladroite) de la scène vertigineuse de la découverte des Brachiosaures,  d'une séquence de poursuite sur un radeau présente dans le livre de Michael Crichton et finalement effacée du script final par Spielberg, et du retour du Spinosaure du troisième volet. Un retour aux sources qui n'a en tout cas pas convaincu la presse française et internationale.

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Ce clin d'oeil à Jurassic Park fait dès les premières minutes.

Le film assume le rapprochement dès ses premières minutes. Le Dr. Loomis (incarné par Jonathan Bailey), l'un des personnages principaux et paléontologue qui prend par à l'expédition aux côtés de Zora Bennett (Scarlet Johansson), révèle qu'il est un ancien élève... du professeur Grant (Sam Neill), lui-même paléontologue de renom et personnage principal de la première trilogie Jurassic Park. Célèbre pour avoir étudié les Vélociraptors, et parfois incompris pour avoir prouvé leur similitude avec les oiseaux, il était au coeur de l'horreur sur Isla Sorna et Isla Nublar.

De quoi créer la boucle avec la première trilogie sortie entre 1993 et 2001. D'une façon générale, l'ombre de Grant plane toujours sur la saga d'Universal, comme si elle n'arrivait pas en s'en affranchir. Nous l'avons vu avec le retour du trio du premier film (avec Ian Malcolm et Ellie Sattler) dans Jurassic Word : Le Monde d'après. Bien que le personnage culte de Sam Neill n'apparaisse pas dans Jurassic World : Renaissance, on ne peut s'empêcher de penser qu'Universal n'en a pas fini avec sa figure de proue.