Finis la langue de bois et la réécriture de la réalité par une presse malhonnête et la couverture de la corruption par un département de la Justice cul et chemise avec les Clinton.

L'enquête du FBI sur la fondation Clinton existe, elle est en cours, et elle n'a pas livré ses conclusions.
Cela veut dire que Obama peut accorder le total pardon à Clinton pour les fautes passées, mais pas pour celles qui n'ont pas encore été démontrées.

James Comey n'avait pas autorité pour décider que les délits sur l'affaire des emails n'intéresseraient aucun juge fédéral.

Si Rudy Giuliani est nommé ministre de la Justice, Huma Abedin, et toute la clique des collaborateurs d'Hillary Clinton qui se sont réfugiés derrière la protection du 5e amendement vont se retrouver sur le banc des accusés, car les WikiLeaks ont montré qu'ils se sont parjurés, ce qui fait sauter cette protection.

Lorsqu'il était maire de New York, Giuliani a mis en pratique ce qu'il a appelé la théorie de la « tolérance zéro » qui a produit les succès que l'on connaît. Je vous laisse imaginer la suite...
Il a déclaré que l'on peut imaginer, d'un coté, qu'il y a des sujets plus urgents à s'occuper que mettre Clinton derrière les barreaux, mais de l'autre, « que devient le fondement de la démocratie d'une justice égale pour tous et de tous égaux devant la justice, si on laisse Clinton au-dessus des lois. »

Ma conclusion, Donald Trump, les gens l'ignorent, est un homme de cœur. Et c'est un milliardaire prolétaire qui a du dégoût pour la corruption et les passe-droits dont bénéficient les politiciens.

Giuliani a déclaré : « je suis catholique, je sais que certaines personnes peuvent se racheter, d'autres pas, et nous savoir comment distinguer les uns des autres ».

S'il accepte les fonctions que Trump voudra lui confier, Clinton peut commencer à trembler

PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 11 NOVEMBRE 2016