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El Roslino
Le président fête mardi les deux ans de son élection. Englué dans une impopularité massive, il cherche malgré tout à garder le cap de sa politique.
La longue marche s'est prolongée au-delà de la Pyramide du Louvre. En ligne droite jusqu'à l'Arc de triomphe saccagé. Deux ans après son élection surprise, Emmanuel Macron en est là. Passé, comme beaucoup de ses prédécesseurs, des parfums enivrants de la victoire aux senteurs plus âcres des gaz lacrymogènes dispersés sur les manifestants. Pour celui dont l'élection avait revêtu un caractère totalement inédit, l'épreuve de la rue l'est tout autant. La crise des «gilets jaunes» dépasse de loin le cadre ordinaire du traditionnel troisième tour social qui suit souvent l'élection d'un président. «S'il y a un troisième tour, il est plus politique que social», observe le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand, l'un des fidèles de la première heure. L'ampleur du mouvement, sa durée dans le temps et ses fréquents débordements ont tout de même poussé le chef de l'État à une sorte de mea culpa.
Jusqu'à l'apparition du mouvement des «gilets jaunes», il n'était question que de «tenir le cap», de «continuer à transformer le pays ...
El Roslino
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