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El Roslino
Envoyée spéciale à Beyrouth.
C'était écrit. Renault et Carlos Ghosn vont s'affronter en justice au sujet des conditions financières du départ de l'ex-PDG. Il faut dire que les circonstances n'étaient pas banales. C'est en cellule que Carlos Ghosn avait signé le 23 janvier 2019 une lettre à l'intention du conseil d'administration du Losange réuni le 24. Constatant son propre «empêchement», Carlos Ghosn avait fait savoir sa «décision de mettre un terme à (ses) mandats». Deux mois après son arrestation, le groupe français avait besoin d'un patron. Et Carlos Ghosn espérait que cela contribuerait à fléchir la justice japonaise qui le maintenait incarcéré.
Ma démission de Renault ? C'est une farce !
Carlos Ghosn :
«Ma démission de Renault ? C'est une farce !», affirme au Figaro l'ancien patron. «Je réclame mes droits à la retraite ainsi qu'à tous les droits qui me sont acquis. J'ai d'abord voulu que cela se règle de façon amiable. Chacun connaît les conditions dans lesquelles j'ai dû quitter Renault : j'étais emprisonné ! Mais, que je sache, il existe un droit.
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