Vous n'êtes pas identifié.
Pages: 1
Réponse : 0 / Vues : 1 427
Apple veut assurer la sécurité de ses utilisateurs, mais le FBI ne voit pas cela d'un très bon œil dès que l'agence a besoin d'accéder à un iPhone. De ce fait, le Federal Bureau of Investigation a investi dans un boitier baptisé GrayKey. Il permet de déverrouiller n'importe quel smartphone de la firme américaine sans rien avoir à demander à cette dernière.
Un refus d'Apple.
Ce n'est pas la première fois qu'Apple ne veut pas déverrouiller un iPhone lors d'une enquête et même si cela est grave. Un véritable bras de fer entre le FBI et Apple. Il faut rappeler que le gouvernement américain souhaite que la firme à la pomme crée un backdoor sur son OS afin de faciliter les enquêtes, mais c'est hors de question pour Apple. De ce fait, les autorités doivent se débrouiller seules. Le président américain, Donald Trump a laissé un petit tweet à ce sujet :
Donald Trump a écrit :
Nous aidons Apple tout le temps sur le domaine du commerce et tant d'autres problèmes, et pourtant ils refusent de déverrouiller les téléphones utilisés par les tueurs, les trafiquants de drogue et d'autres criminels violents. Ils doivent aider notre grand pays, MAINTENANT! RENDONS A L'AMÉRIQUE SA GRANDEUR.
Le boitier qui les fait cracker tous.
L'entreprise Grayshift dirigée par un ancien d'Apple commercialise un boitier baptisé GrayKey qui permet de déverrouiller n'importe quel iPhone et même le dernier en date qui se veut le plus sécurisé. Il faut néanmoins débourser 30 000 dollars pour s'en procurer un. De plus, concernant son fonctionnement, l'entreprise garde bien ses secrets. Pour pouvoir accéder aux données de l'appareil et le déverrouiller, il suffit de connecter l'iPhone à son port, l'opération peut durer de 2 heures à 72 heures. C'est ce qu'a utilisé le FBI dans l'affaire de la tuerie de Pensacola.
Baris Ali Koch aurait aidé son frère condamné à quitter le pays grâce à ses papiers d'identité, et la Police veut prouver qu'il lui a menti en déverrouillant l'iPhone de celui-ci. D'ailleurs, l'avocat de Baris avait confirmé que l'iPhone 11 Pro de son client était verrouillé et que les autorités ne pouvaient pas utiliser son visage pour déverrouiller l'appareil via le FaceID.
Réponse : 0 / Vues : 1 427
Pages: 1