Vous n'êtes pas identifié.
Pages: 1
Réponse : 1 / Vues : 1 415
Alex31
Une policière hors service qui rentrait chez elle à Guyancourt (Yvelines) a été victime d'un viol dans la nuit de samedi à dimanche. Un sapeur-pompier de Paris a été interpellé et placé en garde à vue.
Les faits remontent à la nuit de samedi à dimanche vers 3 heures du matin. Une policière née en 1981 rentrait à son domicile situé à Guyancourt après une soirée, lorsqu'elle a été violemment agressée dans son immeuble par un individu qui l'a violée selon une source policière.
Les cris de la victime qui s'est débattue ont alerté le voisinage et l'agresseur a pris la fuite sous les yeux d'un témoin. La policière qui est affectée dans une direction centrale de la police parisienne, a été hospitalisée. Cette dernière a également travaillé durant plusieurs années dans les Yvelines.
Interpellé sur son lieu de travail.
Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale. Après quelques jours d'investigations durant lesquels les enquêteurs ont obtenu un portrait robot de l'agresseur et la description de sa voiture, un pompier de Paris a été interpellé sur son lieu de travail ce mercredi après-midi a confirmé le parquet de Versailles.
Ce dernier, lui aussi né en 1981, a été placé en garde à vue. A ce stade, on ignore si la victime et le suspect se connaissent. Les pompiers de Paris n'ont pas communiqué pour le moment au sujet de cette affaire.
Alex31
Suite de cette affaire :
Yvelines : le pompier de Paris soupçonné du viol d'une policière mis en examen
Le pompier de Paris suspecté du viol d'une policière à Guyancourt (Yvelines) a été mis en examen et écroué ce 7 février. L'homme de 39 ans aurait été confondu par l'ADN laissé sur la victime, selon une source proche de l'enquête.
Interpellé sur son lieu de travail et placé en garde à vue depuis mercredi 5 février, un pompier de Paris suspecté du viol d'une policière a été mis en examen et écroué ce vendredi 7 février.
L'individu -un homme de 39 ans travaille à la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) depuis 16 ans- aurait été confondu par l'ADN laissé sur la victime, selon une source proche de l'enquête. Son ADN avait en effet été prélevé en 2012 dans le cadre d'une procédure d'abandon de famille.
Les faits se sont déroulés dimanche 2 février aux alentours de 4h du matin. La victime, fonctionnaire de police, née en 1981 comme le suspect, a été agressée alors qu'elle rentrait chez elle. Elle a crié et s'est débattue, mais son agresseur est parvenu à ses fins, selon des sources proches du dossier.
Un témoin a aperçu la scène, mais l'homme a réussi à prendre la fuite. Il aurait permis de dresser un portrait-robot et aurait communiqué des éléments sur la voiture du suspect, permettant de remonter la piste jusqu'à lui.
Réponse : 1 / Vues : 1 415
Pages: 1