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El Roslino
Gilles Le Gendre, président du groupe LRM à l'Assemblée nationale, le 3 mars à Paris.
Si elle empêche un pacte républicain de se conclure après la crise sanitaire, « la réforme des retraites devra être mise de côté », estime Gilles Le Gendre, le président du groupe La République en marche (LRM) à l'Assemblée, dans un entretien au Journal du dimanche du 12 avril. « La réforme des retraites a montré à quel point notre démocratie sociale est épuisée. Entre deux réformes utiles, il faudra toujours choisir celle qui rassemble les Français. »
Pour le numéro un des députés de la majorité, « l'“après” ne sera pas l'“avant”. Mais il ne sera pas le “Grand Soir” ». « Nous devons répondre aux aspirations à une réinvention de nos modèles, français, européens, mondiaux, mais résister aux vieilles lunes, comme l'acte de décès de la mondialisation », prévient-il. Il estime que cet « après » « pourrait s'inscrire dans un nouveau “pacte républicain” », qui « reposerait sur trois piliers : le redémarrage de l'économie, de nouvelles solidarités et protections et la transition écologique ».
« L'urgence, ce sera la réparation, mais elle s'accompagnera d'une refondation radicale : nous devrons revoir nos équilibres politiques pour rassembler les Français ; et aussi changer notre manière d'associer ces derniers à l'action publique. »
Relance économique, transition écologique et réforme de la santé.
Pour construire le pacte républicain, il faudra, selon lui, chercher « le consensus le plus large avec les forces politiques, les élus locaux, les syndicats, les associations et les citoyens. A l'Assemblée nationale, notre majorité devra faire prévaloir le compromis plutôt que l'affrontement ».
Le président du groupe LRM place parmi les priorités « la relance de l'économie », qui n'est selon lui « pas inconciliable avec l'accélération de la transition écologique », citant « le développement des énergies renouvelables ou la rénovation à grande échelle des bâtiments ».
« L'hôpital − c'est acté − bénéficiera d'un plan d'investissement massif. Mais ce n'est pas qu'affaire d'argent. Nous devons poursuivre la réforme déjà engagée de notre système de santé », ajoute-t-il, souhaitant aussi ne pas abandonner la « loi sur la dépendance », qui « illustrerait parfaitement les nouvelles solidarités ».
Alex31
A la base la réforme des retraites c'est parce qu'on est de plus en plus en être vieux et que tout cela à un coût. Oui, on a pas d'argent, mais comme par enchantement, on à autant d'argent à mettre pour nous forcer à rester à la maison et même payer des gens à rien faire chez eux plutôt que de travailler. Tout ça dans le seul but de justifier pourquoi l'endettement de la France va se creuser comme un ravin.
Pourtant justement, c'est maintenant plus que jamais que la réforme tien la route.
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