Vous n'êtes pas identifié.
Pages: 1
Réponse : 0 / Vues : 3 266
El Roslino
Pour expliquer ce phénomène, les experts de santé exposent quatre hypothèses. Parmi elles, les passagers auraient pu être contaminés entre le moment de leur test et l'embarquement.
Ils avaient tous présenté un test PCR négatif au coronavirus lors de leur embarquement à New Delhi, en Inde, pourtant, au moins 52 passagers ont été testés positifs après leur arrivée à Hong Kong, ont annoncé les autorités hongkongaises mardi 20 avril.
Les passagers, en provenance de la capitale indienne, voyageaient à bord d'un avion de la compagnie Vistara qui comporte 188 places et ont atterri le 4 avril à Hong Kong. Toutefois, les autorités n'ont pas précisé le nombre de personnes ayant voyagé sur ce vol, relate le Daily Mail.
Ce nombre de nouvelles contaminations est plus élevé que le bilan quotidien de Hong Kong, qui a su lutter efficacement contre une quatrième vague d'infections débutée en janvier. De son côté, l'Inde est submergée par le coronavirus et déplore 2.800 décès par jour sur une population totale d'1,3 milliard d'habitants.
Quatre principales hypothèses.
Si les experts de santé rappellent qu'en raison des systèmes de ventilation développés des avions le risque d'attraper le virus en vol est très faible, d'autres théories semblent plus probables pour expliquer ces contaminations. Ainsi, les professionnels ont exposé quatre raisons pouvant justifier ces cas, rapportent nos confrères britanniques.
D'abord, les passagers auraient pu être contaminés entre le moment où ils ont effectué leur test PCR et leur vol. En effet, le test doit être effectué 72 heures avant l'embarquement. Autre hypothèse, le système de santé indien, surchargé, aurait pu mal détecter les cas avant d'embarquer ou alors certains passagers auraient pu présenter de faux certificats de tests négatifs. Troisième option avancée par les spécialistes : les passagers auraient pu être contaminés dans l'un des hôtels de quarantaine d'Hong Kong. Enfin, les voyageurs auraient pu être contaminés par une souche particulièrement gave du Covid-19 qui aurait réussi à se propager malgré la ventilation performante de l'avion.
D'autres cas ont été détectés sur des vols en provenance de Mumbai, ont également signalé les autorités. En outre, le variant N501Y ayant été détecté à Hong Kong, les autorités ont suspendu les vols en provenance de l'Inde, du Pakistan et des Philippines du 20 avril au 3 mai.
Réponse : 0 / Vues : 3 266
Pages: 1