
Benjamin Griveaux, le 11 juillet 2019
Au-delà de l'indignation unanime de la classe politique qui dénonce une "foire aux ordures", une "abomination" ou encore "un climat inquiétant", la publication de ces images intimes est une pratique illégale en France, et ce, depuis 2016.
Ainsi, la loi dit que "porter à la connaissance du public ou d'un tiers tout enregistrement ou tout document portant sur des paroles ou des images présentant un caractère sexuel, obtenu, avec le consentement exprès ou présumé de la personne ou par elle-même" est passible de deux ans de prison et de 60.000 euros d'amende.