
De son côté, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, tient à soutenir l'enseignante et le personnel du lycée : "Il n'y a pas à avoir de menaces sur les enseignants. On doit les laisser apprendre aux enfants la liberté de penser", déclare-t-elle.
Les gendarmes ont placé sept jeunes en garde à vue lundi 19 et mardi 20 octobre. La jeune fille a été mise en examen. Elle a été laissée en liberté surveillée par un éducateur et éloignée de l'établissement. Elle encourt une peine maximale de six mois de prison.