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Le petit dernier du MCU, Thunderbolts*, est un film assez sombre, qui traite de la santé mentale de ses personnages à travers leur dépression, leur bipolarité et leur solitude. Via le passé de Bob, le nouveau venu de l'univers Marvel aux pouvoirs aussi extraordinaires que terrifiants, le film ignore également une règle précédemment imposée par Kevin Feige pour Deadpool 3...
Thunderbolts*, un film mature.
Avec Thunderbolts*, les fans du MCU ont fait la rencontre de Bob, un jeune homme tourmenté dont les deux alter-égo, le Void et Sentry, ont fait trembler New York. Utilisé comme cobaye par O.X.E., la mystérieuse organisation de Valentina Allegra De Fontaine, il a reçu les pouvoirs combinés de plusieurs Avengers, faisant de lui un être pratiquement invincible. Seul hic, sa personnalité super-héroïque ne va pas sans celle, très sombre, qui découle de sa bipolarité et de sa dépression. Marvel avait pris très tôt le parti pris de ne pas montrer les facettes les plus sombres de ses personnages, comme en ignorant l'alcoolisme de Tony Stark, mais cette fois-ci, les problèmes d'addiction à la drogue de Bob sont mentionnés à l'écran. Une noirceur réaliste à laquelle le MCU ne nous avait pas habitué, et qui tranche avec cette règle de Kevin Feige pour Deadpool & Wolverine...
Cette règle "anti-drogue" de Deadpool 3 ignorée.
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