Avant de quit­ter ce monde, Johnny Hally­day a tenu à faire en sorte que son épouse, Laeti­cia, ne manque de rien dans les années à venir et qu'elle puisse surve­nir, sans le moindre problème, aux besoins de leurs deux filles, Jade et Joy.

Johnny Hally­day avait tout prévu. Vissi­ble­ment aussi vision­naire dans sa vie privée que dans sa carrière, le rockeur était conscient des tensions qui pour­raient subsis­ter après sa mort au sein de sa famille recom­po­sée. Alors que la rela­tion entre David Hally­day et Laeti­cia Hally­day peut parfois paraître fragile, le maga­zine Closer affirme de son côté que tout a été mis en place afin que personne ne manque de rien après le décès du rockeur, pas même sa dernière épouse. En 2010, Johnny Hally­day et Laeti­cia se seraient en effet rendus chez leur notaire afin de mettre en place « une dona­tion au dernier vivant ». En somme, si cet accord est main­tenu, la moitié de la fortune du rockeur sera versée à sa veuve tandis que les 50% restant seront divi­sés entre ses quatre enfants: Jade, Joy, Laura et David. Laeti­cia Hally­day serait donc défi­ni­ti­ve­ment mise à l'abris du besoin.

Heureu­se­ment pour elle, l'avenir de la mère des petites Jade et Joy ne dépend pas entiè­re­ment de cette close. Ces dernières années, la compagne de Johnny a su mettre de l'argent de côté. Comme le rappelle le maga­zine, cela fait désor­mais six ans qu'elle joue le rôle de direc­trice artis­tique auprès de son époux. Une acti­vité qui lui a permis de mettre beau­coup d'argent de côté. A cela s'ajoutent les béné­fices à venir sur les ventes de l'album post­hume de Johnny Hally­day ainsi que l'argent tiré de la vente ou de l'exploi­ta­tion des villas de Marnes-la-Coquette, de Saint-Barth et de Los Angeles. Que Laeti­cia Hally­day soit en effet recon­nue comme héri­tière partielle de la fortune de son mari ou qu'elle soit tota­le­ment oubliée de son testa­ment (cas de figure très peu probable), la femme d'affaire se retrouve malgré tout à la tête d'une petite fortune person­nelle. De l'argent qu'elle compte bien utili­ser pour subve­nir aux besoins de ses deux filles.