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El Roslino
Arrivé au pouvoir début juin, Pedro Sanchez s'est tout de suite prononcé pour l'accueil de l'Aquarius. Mais pour les régions, il est de plus en plus difficile d'assumer au quotidien ce flux de migrants.
La scène se répète chaque semaine. Elle est presque devenue iconique: des bateaux remplis de migrants arrivent au lever du soleil, dans une mer calme. Il y a bien sûr l'Aquarius, l'Open Arms à Barcelone et Algésiras, en Andalousie et puis il y a ces débarquements bien plus anonymes, dans des embarcations de fortune, les pateras, sur les plages sous le regard sidéré des locaux.
Alors qu'elle avait accueilli 8677 migrants entre le 1er janvier et le 7 août 2017 selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), l'Espagne a déjà atteint le nombre de 23.741 pour la même époque cette année. Faisant du pays de Cervantes la première porte d'entrée en Europe devant l'Italie (18.872) et la Grèce (16.307).
Une aubaine pour les partis d'opposition.
Arrivé début juin à la présidence du gouvernement, le socialiste Pedro Sanchez s'est d'abord prononcé pour l'accueil de l'Aquarius quelques jours après son accession au pouvoir.
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